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viernes, 28 de octubre de 2011

Educar en Valores

Nos preguntamos muchas veces por qué es importante y necesario que eduquemos a nuestros hijos a través de los valores. Educar a nuestros hijos para que aprendan a dar valor a algunas conductas y comportamientos les ayudará a convivir de mejor manera y a sentirse bien en el ambiente en que se encuentren.

Valores como la amistad, la comprensión, la tolerancia, la paciencia, la solidaridad y el respeto, son esenciales para un sano desarrollo de los niños.

Un niño que conoce el límite del otro, podrá vivir una vida sana y saludable, sea en su entorno familiar o escolar. Un niño que sabe respetar a los demás, será más fácilmente respetado, y así con todo.


La transmisión de los valores a los hijos
Los valores son las reglas de conducta y actitudes según las cuales nos comportarnos y que están de acuerdo con aquello que consideramos correcto. Al nacer, los niños no son ni buenos ni malos. Con la ayuda de sus padres, educadores y de los que conviven con ellos, aprenderán lo que está bien y lo que está mal decir, hacer, actuar, vivir.

Pero, ¿cómo educar a los hijos en valores? Primero, conociendo cada uno de los valores. GuiaInfantil.com hizo una selección de los principales valores para que los padres hagan un repaso y luego se los enseñen en el día a día a sus hijos, y con ejemplos.

También es preciso recordaros que los niños aprenden con el ejemplo. El ejemplo que dan sus padres en su forma de relacionarse con los demás, de pedir las cosas, de compartir mesa, asiento, de cooperar, de ayudar a los demás, de defender, de reclamar, de tolerar y aceptar. Si los padres no tienen paciencia con su hijo, ¿qué creen que el niño va a aprender? La responsabilidad que tienen los padres en la transmisión de los valores a sus hijos es crucial.

Valores para educar
Amabilidad Obediencia
Amistad Perseverancia
Amor a la naturaleza Respeto al bien común
Bondad Respeto a la diversidad
Generosidad Tolerancia
Esfuerzo Conocimiento

jueves, 27 de octubre de 2011

Contacta con Tu Hijo Interior

Le terme d'enfant intérieur est un terme à l'origine issu de la psychologie analytique jungienne, .
On le nomme parfois de son nom latin : puer aeternus, mais il connaît en fait de nombreuses dénominations : l'enfant intérieur, le puer aeternus, l'enfant éternel, l'éternel enfant, le fripon divin et même Trickster, chacune de ces dénominations rendant alors raison à l'une de ses caractéristiques.
La paternité de ce terme est néanmoins attribuée à Carl Gustav Jung, chez qui ce terme a alors valeur de concept car il est utilisé dans le cadre de la théorie de la psychologie analytique. Pour lui, l'enfant intérieur (ou enfant divin) est, dans ce cadre théorique, la part enfantine de l'homme et de la femme. Il s'agit d'un archétype et donc d'une formation de l'inconscient collectif.
Dans le cadre de la théorie jungienne sur les archétypes, l'enfant intérieur est à une articulation : l'homme y trouvera de son Anima et de son Ombre un peu aussi de Trickster. La femme y trouvera de son Animus, elle aussi de son Ombre et un peu aussi de Trickster.
Les personnages de lutins (ou gnomes, ou elfes) dans les légendes, alternativement joueurs, sages ou cruels, sont des manifestations typiques de fripon divin ou enfant intérieur.

Sommaire [masquer]
1 Développement du terme
1.1 Nous avons tous un enfant en nous même
1.2 L'art de se parler, de parler à son enfant
1.3 Pourquoi ce dialogue est-il nécessaire ?
1.4 Une notion « opérante »
2 Notion d'enfant intérieur chez les psychothérapeutes
3 Travaux actuels en lien avec le notions d'enfant intérieur
3.1 exemple anthropologique
3.2 exemple psychothérapeutique : addictions
3.3 exemple selon Pinterovic : le petit prince
4 Liens internes et références
4.1 Bibliographie
5 Notes et références
6 Articles connexes
Développement du terme[modifier]

Nous avons tous un enfant en nous même[modifier]
La perspective Jungienne, au travers de l'ouvrage "le fripon divin : le mythe indien", envisage l'existence d'un processus qui renvoie à un archétype présent dans chaque être humain, quelle que soit sa culture. Cette universalité se retrouverait au travers du Fripon divin. Le fripon divin est la figure de la petite créature mythique des légendes mais plus encore il est aussi une composante de notre âme.
Paul Radin, anthropologue rendu célèbre par ses études sur le Trickster, permit à Jung d'étayer cette thèse et d'affirmer le caractère de concept de l'enfant divin (enfant intérieur) en apportant sa contribution à l’étude de la psychologie du fripon. Spécialiste de la culture amérindienne, il s'associe à C.G Jung pour une publication commune. Co-auteur de l'ouvrage le mythe du Fripon, Paul Radin écrit :
« Il n'est guère de mythe aussi répandu dans le monde entier que celui que l'on connaît sous le nom de "mythe du Fripon" dont nous nous occuperons ici. Il y a peu de mythes dont nous puissions affirmer avec autant d'assurance qu'ils appartiennent aux plus anciens modes d'expression de l'humanité ; peu d'autres mythes ont conservé leur contenu originel de façon aussi inchangée. (...) Il est manifeste que nous nous trouvons ici en présence d'une figure et d'un thème, ou de divers thèmes, doués d'un charme particulier et durable et qui exercent une force d'attraction peu ordinaire sur l'humanité depuis les débuts de la civilisation. »
Cette figure culturelle renverrait donc à l'un des aspects de l'âme humaine. En novembre 1999, René Barbier,, chercheur en sciences de l'éducation et pédagogue jungien, écrit, de manière poétique, à son sujet :
« C'est un enfant qui prend le jour pour en faire sa cabane de feuillage. Il arrive à l'horizon de la mémoire sans aucun bruit sans aucune page Il n'a rien à nous dire Il est la Présence même. Il éclate de tous les rires de la terre. C'est un enfant pareil à la mer et pourtant c'est un enfant soleil. Il fait chanter toutes les colombes. Il adoucit les serpents du rouge vif. Il boit la rage et donne le rêve. Un jour nous le rencontrerons. Entre deux portes coquille de l'instant Il arrêtera notre visage. Il prolongera notre regard dans la surprise du torrent. Nous prendrons le temps du partage. C'est un enfant qui arrondit l'espoir pour le faire rouler et bleuir le monde. Il est la femme et il est l'homme entrelacés. Hélice de toute vie. Avec lui nous devenons plus humains. Avec lui fulgurante l'existence est royauté. »
L'art de se parler, de parler à son enfant[modifier]
« ... il faut se cultiver dans l'art de se parler à soi-même, au sein de l'affect, et d'utiliser celui-ci, en tant que cadre de dialogue, comme si l'affect était précisément un interlocuteur qu'il faut laisser se manifester, en faisant abstraction de tout esprit critique. Mais, ceci une fois accompli, l'émotion ayant en quelque sorte jeté son venin, il faut alors consciencieusement soupeser ses dires comme s'il s'agissait d'affirmations énoncées par un être qui nous est proche et cher. Il ne faut d'ailleurs pas s'arrêter en cours de route, les thèses et antithèses devant être confrontées les unes avec les autres jusqu'à ce que la discussion ait engendré la lumière et acheminé le sujet vers une solution satisfaisante. Pour ce qui est de cette dernière, seul le sentiment subjectif pourra en décider. Naturellement, en pareil débat, biaiser avec soi-même et chercher des faux-fuyants ne nous serviraient de rien. Cette technique de l'éducation de l'anima présuppose une honnêteté et une loyauté pointilleuses à l'adresse de soi-même, et un refus de s'abandonner de façon prématurée à des hypothèses concernant les desidera ou les expressions à attendre de "l'autre côté".1 »
Pourquoi ce dialogue est-il nécessaire ?[modifier]
L'individuation est pour Carl Gustav Jung caractéristique de la seconde moitié de la vie : quand l'homme a établi sa place dans le monde, une nouvelle exigence peut se faire valoir à lui : celle d'être vraiment lui-même, être ce qu'il est, tout ce qu'il est, et seulement ce qu'il est. C'est l'archétype du soi qui suscite et dynamise ce processus.
« L'individuation n'a d'autre but que de libérer le Soi, d'une part des fausses enveloppes de la persona, et d'autre part de la force suggestive des images inconscientes2. »
Il arriverait donc qu'à un moment de sa vie, dans ce que Carl Gustav Jung nomme "la seconde partie de sa vie" ou que les psychanalystes nomment "l'âge de la maturité", certains êtres humains cherchent à devenir plus eux-mêmes, à s'assumer davantage, à grandir.
Cherchant à rompre, par exemple, avec leurs faux soi. C'est ce qui pousse parfois ces personnes dans les sociétés occidentales à consulter les psychanalystes ou les psychothérapeutes : rompre avec une vieille douleur, plus s'assumer, aller mieux, etc.
Le "fripon divin" envahi par de fausses représentations, des images, des allant de soi, chercherait alors à nous ramener sur le chemin de nous-mêmes par notre propre médiation.
Une notion « opérante »[modifier]
À l'âge de la maturité, (qui ne correspond pas forcément un âge social déterminé même si la statistique sociologique le situe vers la quarantaine), dans ce que l'on nomme parfois « la seconde partie de vie », l'adulte (en devenir) peut éprouver le besoin de retrouver un lien avec lui même, avec son enfant intérieur, et s'inscrire dans la vie d'une manière différente.
Travailler au lien avec son enfant intérieur est alors utilisé aussi dans une démarche psychothérapeutique, de certains courants de la Psychothérapie d'Inspiration Psychanalytique, (P.I.P. désigne une famille de soins psychiques), comme chez John Bradshaw ou Hal et Sidra Stone dans leur ouvrage Le Dialogue intérieur.
Il est utilisé par exemple :
Chez les personnes souffrant de difficultés d'attachement (angoisse à s'attacher, attachement incontrôlable, relations faisant souffrir). L'attachement primitif mère-enfant serait le prototype des affinités, et plus généralement, des relations privilégiées de l'adulte par la suite. Il s'agit alors de réparer « le lien » et d'apaiser le patient dans son rapport au monde. Une fois le lien « douloureux » retravaillé, le patient ou la patiente peut alors quitter les relations pathogènes pour lui-même telles que : la boisson, la sexualité compulsive, le (la) conjoint(e) maltraitant(e), la sur-activité professionnelle ou ménagère, la sur-intellectualisation ou la guerre idéologique pour la guerre idéologique.
Chez les personnes souffrant du syndrome de Peter Pan, défini et conceptualisé par le psychanalyste Dan Kiley. Il s'agit alors d'ouvrir le patient à la réalité du monde pourqu'il s'y inscrive. Il pourra alors tenir sa place.
Dans la préface à l’édition hébraÏque de "Psychologie et éducation" de Jung, (1958) on souligne que la psychologie analytique a contribué à la connaissance :
des adultes qui souffrent encore d’infantilisme perturbant ;
des relations complexes entre parents et enfants ;
des enfants eux-mêmes.
La préface va encore plus loin :
« Les désordres psychiques des enfants sont généralement liés à la psychologie et aux attitudes des parents et des éducateurs et on propose que la plus importante question après l’éducation de l’enfant soit celle de l’éducation même de l’éducateur »3.
Notion d'enfant intérieur chez les psychothérapeutes[modifier]



Enfant divin aux prises avec ses démons intérieurs. William Blake
Depuis les années 1960, de nombreux psychothérapeutes tels que le docteur Charles Whitfield aux États-Unis, Donald Winnicott en Angleterre et la psychologue Alice Miller en Suisse, ont développé cette approche de l'Enfant Intérieur et ont imposé cette notion dans la pratique psychothérapeutique, en particulier nord-américaine (Canada et États-Unis).
La démocratisation de cette notion est due en particulier à une volonté de venir en aide aux co-dépendants, car elle suggère une prise ou reprise de sa propre prise charge. Ces processus ont été décrits de maniére ludique et active dans des ouvrages psychothérapeutiques à succès, en particulier dans les pays anglo-saxons.
Pour citer quelques auteures : Lucia Capacchione, Louise Hay, Pia Mellody et aussi Susanna McMahon par exemple avec son "psy de poche" , qui lui a été édité (et réedité) en langue française.
Certains psychothérapeutes indiquent que nous pouvons découvrir l'existence de l'enfant intérieur qui est en nous et ainsi nous prendre en charge, et que c'est cette découverte qui a valeur de psychothérapie, si elle est accompagnée.
Selon Suzanna Mc Mahon, l'enfant intérieur peut être découvert
« (...) au fait que nous réagissons de façon démesurée à certains évènements. Chaque fois que notre réaction est disproportionnée, on peut être sûr qu'il est en train de faire son numéro. Cela se produit à chaque fois que nos besoins guident aveuglément notre conduite, l'enfant exige qu'on s'occupe de lui. Il hurle son besoin d'attention. (...) Tout le monde abrite un enfant intérieur car nous avons tous autant que nous sommes perçus jadis le monde à travers les yeux d'un enfant. Et nous avons tous quelques souvenirs de ces perceptions. Cet enfant se souvient de son impuissance, de son incapacité à maîtriser le cours des choses. Il garde en mémoire d'innombrables injustices. A tout cela, il n'a de solutions qu'à court terme; il sait crier, pleurer et exiger de l'attention ou au contraire devenir passif, se recroqueviller sur lui même réclamant que l'on vienne à son secours. Si les secours n'arrivent pas, c'est le désespoir. Un enfant intérieur en bonne santé a la certitude que l'on répondra tôt ou tard à ses besoins et il est capable de patienter avant d'obtenir satisfaction, mais nombre d'entre nous hélas n'ont pas un enfant en bonne santé4. »
Travaux actuels en lien avec le notions d'enfant intérieur[modifier]

exemple anthropologique[modifier]
Article détaillé : Trickster .
L'anthropologie, nous révèlerait que nous avons tous un enfant en nous même et que de nombreux peuples ont exprimé ce fait. La perspective Jungienne, au travers de l'ouvrage le fripon divin : le mythe indien, envisage l'existence d'un processus qui renvoie à un archétype présent, dans chaque être humain, quelle que soit sa culture. Cette universalité, se retrouverait, au travers du Fripon divin. Le fripon divin est la figure de la petite créature mythique des légendes mais plus encore il est aussi une composante de notre âme.
Attention cependant la notion de Trickster et d'enfant divin ne se recouvrent que partiellement. Et d'une certaine manière le Trickster est le double, l'ambivalence, la part d'Ombre de l'enfant divin etc. : L'ombre et la lumière en somme.
« L’ombre est quelque chose d’inférieur, de primitif, d’inadapté et de malencontreux, mais non d’absolument mauvais. » « Il n’y a pas de lumière sans ombre et pas de totalité psychique sans imperfection. La vie nécessite pour son épanouissement non pas de la perfection mais de la plénitude. Sans imperfection, il n’y a ni progression, ni ascension. » 5
Ainsi Paul Radin, spécialiste de la culture amérindienne, anthropologue rendu célèbre par ses études sur le Trickster, permit à Jung d'étayer cette thèse et d'affirmer le caractère de concept au terme d'enfant divin (enfant intérieur) en apportant sa contribution à l’étude de la psychologie du fripon.
Paul Radin, co-auteur de l'ouvrage le mythe du Fripon, écrit :
« Il n'est guère de mythe aussi répandu dans le monde entier que celui que l'on connaît sous le nom de "mythe du Fripon" dont nous nous occuperons ici. Il y a peu de mythes dont nous puissions affirmer avec autant d'assurance qu'ils appartiennent aux plus anciens modes d'expression de l'humanité ; peu d'autres mythes ont conservé leur contenu originel de façon aussi inchangée. (...) Il est manifeste que nous nous trouvons ici en présence d'une figure et d'un thème, ou de divers thèmes, doués d'un charme particulier et durable et qui exercent une force d'attraction peu ordinaire sur l'humanité depuis les débuts de la civilisation. »
Cette figure culturelle renverrait donc à l'un des aspects de l'âme humaine.
exemple psychothérapeutique : addictions[modifier]
Cependant, cette idée de mise en questionnement et d'âge de la maturité présente chez Jung revêt un caractére intéressant du point de vue des démarches psychothérapeutiques, puisqu'elle indiquerait que tant la capacité de se libérer (par exemple d'une addiction, d'une habitude, d'un être maltraitant ou d'un passé de maltraité) mais aussi que le désir de s'autoriser à être plus soi même, peut survenir à un moment de la vie.
Selon Margaret Paul,
« Les thérapies basées sur l'enfant intérieur ont pour objectif de faire de nous des adultes-enfants capables d'aimer, et donc d'écarter les peurs et fausses volontés qui nous empoisonnent le quotidien et s'opposent à notre épanouissement. [...] Il s'agit d'un processus de transformation [qui] retrace notre parcours depuis l'enfance, source d'équilibre, d'amour, d'intuition, de passion et de légèreté [...] jusqu'au stade adulte, caractérisé par la prédominance de notre cerveau gauche, qui est orienté vers l'action, le rationnel, et le monde extérieur6 »
C'est finalement une manière ludique et adulte de se prendre en main. "Comme un enfant qui s'amuse à construire avec sérieux et avec énergie une cabane dans le jardin" par exemple.
exemple selon Pinterovic : le petit prince[modifier]
Article détaillé : Le petit prince.
Dans le cadre de la psychologie analytique, un lien peut être fait entre petit prince et enfant divin. Cette perspective a donné lieu à une thèse développée par Antoine Pinterovic7, qui elle-même a débouché sur un ouvrage sous le titre de Saint Exupéry ou l'Enfant Divin.
Il est divisé en deux parties:
La première constitue une sorte de tentative de synthèse et de conciliation des diverses approches anthropologiques, mythologiques, psychanalytiques et linguistiques de l'image archétypique du puer aeternus (enfant éternel), figure qui a beaucoup préoccupé Jung lui-même et les psychanalystes jungiens, principalement Marie-Louise von Franz et James Hillman.
La seconde s'attache à une approche de la biographie de Saint-Exupéry, autant légendaire qu'historique, ainsi qu'à une tentative de «lecture jungienne» de son œuvre à la lumière de l'image archétypique de l'enfant divin et sous le projecteur du Petit Prince, condensé mythique en fait de l'une et de l'autre, fournissant par la même occasion les divisions de cette partie de l'ouvrage qui en épousent les épisodes et les événements essentiels.
Liens internes et références[modifier]

Bibliographie[modifier]
(en) Paul Radin, The Trickster : A Study in Native American Mythology, 1956 (ISBN 978-0805203516).
Carl Gustav Jung, Le Fripon divin : un mythe indien, ouvrage collectif avec Radin et Kerényi, éditions Librairie de l'Université, Georg et Cie, 1958.
Carl Gustav Jung, Dialectique du Moi et de l'Inconscient (ISBN 2-07-032372-2).
Marie-Louise von Franz, El puer aeternus, Barcelone, Kairós, 2006 (ISBN 9788472456198).
Margaret Paul, Renouez avec votre enfant intérieur, Éd. Le Souffle d'Or, collection « Chrysalide », 1993.
C.L. Whitfield, L'enfant intérieur, Modus Vivendi Éd., 1994.
R. Lerner, L'Enfant interieur, Modus Vivendi Éd., 1994.
Sharon Wegscheider-Cruse, Apprendre à s'aimer pour libérer l'enfant intérieur, Modus Vivendi Éd., 1994.
Margaret Paul, Libérons notre enfant intérieur, interviewée par François De Kock, dans le magazine Passerelles, 1996.
S. Wolinsky, Ni ange ni demon le double visage de l'enfant interieur, Le Jour Éd., 1996.
Isha Lerner et Mark Lerner, Les Cartes de l'enfant intérieur, guide coffret, Éd. Le Souffle d'Or, 1997.
Susanna McMahon, Le Psy de poche, Éd. Marabout, coll. « [Psychologie et Bien-être] », 2000.
Jean Paul Fluteau, L'Enfant gigogne ou un enfant intérieur au cœur de nos émotions, essai, La Maisnie-Tredaniel, 2003.
Pierre Lassalle et Virginie Landelle, Les Mystères de l'enfant intérieur, Sophiakalia, 2003.
John Bradshaw, Retrouver l'enfant en soi, Les Editions de l'Homme, 2ième édition 2004.
Ouvrage Collectif, 81 façons de réveiller son enfant intérieur, guide poche, La Maisnie-Tredaniel, 2005.
Marie-France et Emmanuel Ballet de Coquereaumont, S'ouvrir à son cœur d'enfant - pour naître à soi, Éditions du Seuil, 2005.
Marie-France et Emmanuel Ballet de Coquereaumont, Réveillez vos ressources intérieures - pour faire face aux aléas de la vie, Éditions Albin Michel, 2009.
Isha Lerner, Le Grand livre des Cartes de l'enfant intérieur, Ed. Le Souffle d'Or, 2010.
Notes et références[modifier]

↑ C.G. Jung, Dialectique du moi et de l'inconscient, Idées / Gallimard, 1973 p 174
↑ Carl Gustav Jung dans Dialectique du Moi et de l'Inconscient (ISBN 2-07-032372-2)
↑ Le développement de la personnalité. Préface à l’édition hébraÏque de "Psychologie et éducation" de Jung (1958) in Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.18.Princeton University Press, 1976. 904 p. (p.822), (§1822-1824)
↑ Susanna McMahon, "le Psy de poche", coll. [Psychologie et Bien-être], ED. Marabout, 2000.
↑ in C.G. Jung « L'Âme et la vie », LGF - Livre de Poche, 1995 (ISBN 2-253-06434-3). L'ouvrage L'Âme et la vie est constitué de textes essentiels de Carl Gustav Jung, réunis et présentés par Jolande Jacobi, introduits par Michel Cazenave.
↑ Margaret Paul, Interview, in le magazine Passerelles,1996.
↑ Saint Exupéry ou l'Enfant Divin, l'archétype du "puer aeternus" comme structure de la vie et de l'œuvre d'Antoine de Saint-Exupéry par Antoine Pinterovic
Articles connexes[modifier]

Archétypes
Histoire de psychologie analytique
Carl Gustav Jung
L'Âme et la vie

Comment insiter nos enfants à aimer les études ?

question de : papa

Un enfant se "nourri" de son environement. Pour l'insiter à aimer les études, il faut dans un premier temps qu'il soit bien entouré, que ses propres parents lui inspirent le respect, l'amour et une dose de crainte.
Il est très rare qu'un enfant travail pour lui même à l'école... Il le fait au départ pour ses parents, c'est ensuite, lorsqu'il prend plus conscience des choses qu'il se met à travailler pour lui même... Surtout si il se découvre des dispositions pour les études.

Donc si au départ un enfant est dans un cadre familiale calme, serein, entouré de livre et épaulé par des parents qui savent lui donner ou suciter en lui le besoin et le plaisir d'apprendre, ce sera un réflexe naturel.

Son environement familiale ne fait pas tout. Il faut aussi veiller à ce qu'il ne soit pas dissipé par de "mauvais" camarade qu'il serait tanté de recopier par "mimétisme", juste parce qu'il n'a pas de modèle à la maison de quelqu'un à qui il aimerait ressembler.
N'hésitez pas à lui consacrer du temps et si votre situation professionnel ou social n'est pas des plus brillante, vous pouvez par votre amour lui donner le goût des études en vous plongeant dans des livres avec lui, en lui consacrant du temps et de l'amour pour lui parler, faire des projets (ça c'est très importants), du style, "lorsque tu auras réussit, ton travail t'emmenera à faire des choses importantes, si tu travail bien maintenant, tu auras plus de temps pour toi plus tard et tu pourras m'emmener découvrir tel ou tel chose..."

Ces paroles ne sont pas toujours faciles à mettre en application, surtout que chaque enfant à sa propre personnalité... mais qui découle souvent de l'éducation qu'on lui a donné.
Ensuite, un enfant peut être plus ou moins doué, ça on ne peut pas toujours changer les choses.... Si ce n'est de découvrir dans quel domaine votre enfant est doué et l'aider le plus possible.

Acknowledge the reality of other people's feelings.

Adele Faber Elaine Mazlish

Being a parent may be one of the most joyful experiences imaginable.

It can also be frustrating, maddening, exhausting, and occasionally overwhelming.

It was feelings like these that led the two of us (one, an artist and composer; the other, an educator) to join a parent guidance group led by the renowned child psychologist, Dr. Haim Ginott.

It was an amazing experience. Little by little we learned ways of communicating that made a profound difference in our relationships with our children. Others in the group reported similar dramatic turnabouts in their family relationships.

This was a story that had to be told. It was that conviction that led us to write our first book, Liberated Parents, Liberated Children. The response was overwhelming. We heard from parents, teachers, and mental health professionals all over the world. They loved the book, but they wanted more.

· They wanted a step-by-step guide that would help them learn the new skills.
· They wanted to know how to cope with the fighting between the kids.
· They wanted to know how the approach could be used in the classroom.
· They wanted ways to teach their children communication skills.
· They wanted to know how to get through to their teenagers.
From all their requests and our subsequent years of conducting workshops for both parents and professionals came seven more books, audio tapes, CD’s, and videos.

People also wanted an opportunity to learn this new approach as we had -- along with other parents -- sharing experiences, discussing and practicing skills together, role-playing with each other. And so we designed a series of group workshop programs that people could run on their own.

As you look over our materials, you’ll see what we’ve created for those who prefer to study on their own as well as those who enjoy the experience of learning together,

We invite you to explore our website and decide which road is best for you.

Cómo hablar para que sus hijos estudien en casa y en el colegio', de Adele Faber y Elaine Mazlish

A que suena bien? En relación al artículo anterior, el de los quebraderos de cabeza que supone para muchos padres el tema de los deberes, encontré un libro que a lo mejor a algunos padres os resulta interesante: 'Cómo hablar para que sus hijos estudien en casa y en el colegio', de Adele Faber y Elaine Mazlish (ed. Medici).

Cuando uno empieza a leerlo da la sensación de que sólo es válido para profesores, de hecho es la historia ficticia de una profesora y de sus compañeros, que van contando en primera persona el proceso de cambio de mentalidad que tuvieron que hacer para poder motivar a sus alumnos e hijos a estudiar.

Está la experiencia de ella como profesora y de sus compañeros como padres y profesores, y se ve cómo van evolucionando a lo largo del libro. Es fácil de leer y viene ilustrado con clarificadoras viñetas ilustrando los ejemplos. En realidad se puede aprovechar en los dos ámbitos: en el escolar y en casa. ¿En qué se distingue de otros libros o por qué me ha llamado la atención? En muchos de mis artículos he hecho referencia a la importancia que tiene escuchar a los niños, poner palabras a sus sentimientos o emociones y no resolver los problemas por ellos. Soy consciente de que así dicho parece fácil, pero en la práctica es muy difícil. Y este libro pone ejemplos muy sencillos y gráficos de situaciones de la vida cotidiana en los que los padres se ven en esas dificultades. Por lo tanto si uno no sabe por dónde empezar, éste libro os puede dar pistas muy interesantes.

El libro comienza con pistas sobre "cómo afrontar los sentimientos que dificultan el estudio" y algunas pautas para "propiciar la colaboración de los niños" sin que éstos se sientan atacados y se pongan a la defensiva.

El tercer capítulo me parece genial. Habla del peligro de imponer castigos y ofrece alternativas para propiciar la autodisciplina tales como:

señalar la manera de ser útil
expresar una censura rotunda si uno no está de acuerdo con ese comportamiento pero sin atacar el carácter del niño.
dejarle claras las expectativas que uno tiene (deben ser ajustadas a la capacidad del niño)
darle opciones para que pueda elegir y que no sienta que las cosas le viene impuestas.
Y si aún así no conseguimos solucionar el problema, hay que dejarle que se pueda enfrentar a las consecuencias.
El cuarto capítulo habla de la resolución conjunta de conflictos entre padres e hijos o entre profesores y alumnos. Propone seguir una serie de pasos lógicos que parecen muy sencillos, pero que requieren práctica para que a uno le salgan de manera creíble. El primer paso es escuchar lo que nos dice el niño, después resumir lo que nos ha dicho (no dar nuestra opinión), y después expresar como padre los sentimientos y necesidades. Por último intentaremos buscar soluciones conjuntas y después decidir cuáles son viables y cuáles no.

Por ejemplo: Una madre pregunta a su hija qué tal el día en el cole y ésta con mala cara responde:

- mamá hoy me han castigado en clase porque me he puesto a hablar con mi amiga Pili(escucho).

- ¡Ah, te han castigado por hablar con tu amiga y no te ha sentado bien! Tienes cara de enfadada (hago un resumen de lo que me ha dicho).

- Si yo fuera tu profesora me molestaría mucho ver cómo alguien habla mientras yo estoy explicando (expreso lo que yo siento).

- En realidad, ¿era muy importante? ¿qué vas a hacer la próxima vez? (intentar buscar soluciones conjuntas).

- Lo cierto es que no. Lo podríamos hablar en el recreo, pero era por si se me olvidaba. Creo que la próxima vez me pondré una señal en la mano para que no se me olvide y así no interrumpir a la profe; bueno, o pasarle una nota.

- Creo que la nota no es buena idea, mientras la escribes no puedes atender a la explicación (descartar las opciones inviables).

Los últimos capítulos hablan de la importancia de un buen elogio, de cómo hacer una crítica constructiva y cómo hacer para huir de los encasillamientos a los que estamos tan acostumbrados. Requiere práctica para los padres y profesores y sobre todo un esfuerzo conjunto.

No busquéis en este libro un manual de instrucciones o la solución mágica a vuestros problemas o dificultades, sino un punto de partida para poner en marcha nuevas estrategias que os pueden facilitar la convivencia con vuestros hijos.

Open Mind Mente Abierta

"Don't limit a child to your own learning, for he was born in another time."
No limitemos a los jóvenes a nuestros conocimientos ellos son hijos de otros tiempos

miércoles, 26 de octubre de 2011

Querer Aprender

Para mi el primer paso es querer aprender
Nadie que no quiere puede aprender
El primer paso querer

Una vez que quieres aprender ya te falta poder aprender y saber aprender

Y con ello con saber aprender de la manera adecuada has de saber como se hace.

Es muy divertido lo que dice VUGHAN sobre el Ingles

Por un lado no hay mucha gente que quiere de verdad
Y una vez si de verdad se quiere con persistencia.
Has de saber cual es la forma más adecuada

Kim Peek - el autentico "Rain Man"

Aprendemos Todos : Manifiesto por una nueva educación

Coaching Deportivo

El curso está dirigido a entrenadores deportivos, licenciados en INEFC, técnicos deportivos, psicólogos, deportistas y en general personal interesadas en formarse en coaching deportivo y liderazgo efectivo para acompañar a personas y equipos a conseguir sus objetivos.

Formación extensiva muy completa de 150 horas, que incluye 95 horas presenciales, prácticas y desarrollo de un proyecto personal.

Esta formación impartido por un grupo de profesionales coaches especialistas en deporte, que incluye a Xesco Espar, Maribel Martínez de Murguía, Montse Cascalló, Cristina Massons, M. Jesús Solavera, Álex Monclús y Antonia Farreras. Capacita al alumno a liderar de forma efectiva y acompañar con el coaching deportivo a deportistas y equipos para conseguir los cambios en profundidad necesarios para conseguir sus objetivos personales y deportivos.

Se divide en dos temas principales: Desarrollo del líder-coach y herramientas para un liderazgo eficaz e incluye la herramienta Insights Discovery para el autoconocimiento

Se Juega como se Entrena

Es un dicho no suficientemente repetido
En el Mundo del deporte
Uno el día de la competición rinde un poco menos de como ha entrenado
A la dificultad se responde de manera automatica
E inconsciente

Educando!!!!

Aprendemos a hacer algo
haciéndolo. No existe otra
manera

La Sencillez y la Flexibilidad

“La sencillez de carácter es el resultado natural del pensamiento profundo” (William Hazlitt). La rigidez suele acompañar el autoritarismo, la tiranía; la flexibilidad, el pluralismo. Es la lección de Antígona, de Sófocles: el derecho a rebelarse contra la tiranía y la opresión.

Para una mente flexible, hay seis zonas de las que alejarse: la del dogmatismo (creencias inamovibles), la de la solemnidad/amargura (tomarse demasiado en serio a uno mismo), la de la normatividad (aceptación ciega de las normas), la del prejuicio y el fanatismo, la de la visión simplista del mundo y la del autoritarismo y abuso del poder. Un libro sumamente interesante este de Walter Riso, El arte de ser flexible..

Aprender de los Campeones: Libro Excelente

Aprender de los Campeones
Los hijos han de ir teniendo referencias
Y ideas claras para mejorar en la vida
Algunas las desarrolla Pep Marí en su libro Aprender de los Campeones
Un punto clave es tener Los Objetivos Claros
Es importante ayudar a nuestros hijos a encontrar el sentido de sus Vidas
Lo que le llena y les Gusta
Para que puedan avanzar hacia sus logros
Los Padres tenemos que aprender a ser Mejores Padres
Y eso como cualquier disciplina la tenemos que aprender
Que recorrer
Hay para Pep 4 Tipos de Padres
1.-Padres desinteresados
2.-Padres que lo saben todo
3.-Padres sobreprotectores
4.-Padres que colaboran a la mejora de sus hijos
www.ilurohc.com

El Cannabis les Vuelve Imbeciles

Washington. (EFE).- El consumo de cannabis está asociado a alteraciones en la concentración y la memoria que pueden desembocar en problemas neurofisiológicos o de conducta, indicó hoy un estudio publicado por la revista Journal of Neuroscience.

Los investigadores han descubierto que la actividad cerebral se vuelve descoordinada e inexacta durante los estados de alteración mental con resultados similares a los vistos en la esquizofrenia.

El estudio, llevado a cabo por científicos de la Universidad de Farmacología de Bristol (Inglaterra), analizó cómo los efectos negativos del cannabis en la memoria y el pensamiento podrían ser el resultado de redes cerebrales "desorquestadas".

El doctor Matt Jones, uno de los autores de la investigación, equiparó el funcionamiento de las ondas cerebrales al de una gran orquesta en la que cada una de las secciones va estableciendo un determinado ritmo y afinación que permiten el procesamiento de información y guían nuestro comportamiento.

Para comprobarlo, Jones y su equipo inocularon a un grupo de ratas un fármaco que se asemeja al principio psicoactivo de la marihuana, el cannabis, y midieron su actividad eléctrica neuronal.

Aunque los efectos en las regiones individuales del cerebro fueron muy sutiles, el cannabis interrumpía completamente las ondas cerebrales a través del hipocampo y la corteza prefrontal, como si las secciones de una orquesta tocaran desafinadas y fuera de ritmo.

Jones indicó que estas estructuras cerebrales son fundamentales para la memoria y la toma de decisiones, y están estrechamente vinculadas en la patología de la esquizofrenia.

Las ratas se mostraban desorientadas a la hora de recorrer un laberinto en el laboratorio y eran incapaces de tomar decisiones adecuadas.

"El abuso de la marihuana es común entre los enfermos de esquizofrenia y estudios recientes han mostrado que el ingrediente psicoactivo de la marihuana puede inducir síntomas de esquizofrenia en individuos sanos", explicó Jones.

"Los resultados de la investigación", agregó el científico, "son importantes para nuestro entendimiento de las enfermedades psiquiátricas, que pueden aparecer como una consecuencia de cerebros desorquestados y pueden ser tratados a través de terapias de afinación".

sábado, 22 de octubre de 2011

Mejora Educativa Ya!!!

PETICIONES AL FUTURO GOBIERNO
1.- Pacto de Estado
Es necesario un acuerdo para acometer una gran reforma que elimine la ideología de las aulas.
2.- Autonomía
Los centros exigen una menor intervención por parte del Gobierno y un sistema menos rígido.
3.- Profesionalización
Fomentar la formación continua del profesor y apoyar su autoridad desde las instituciones.
4.- Libertad
Se debe garantizar el derecho de los padres a escoger el centro educativo que deseen.
5.- Evaluaciones
Para mejorar el rendimiento educativo es necesario imponer evaluaciones continuas.
6.- Bilingüismo
Los idiomas son el futuro. Por ello, es imprescindible que la educación bilingüe llegue a todos los centros.
7.- Bilingüismo
Los idiomas son el futuro. Por ello, es imprescindible que la educación bilingüe llegue a todos los centros.
8.- Esfuerzo
Los alumnos deben recuperar la cultura del esfuerzo y del logro para elevar el nivel educativo.

viernes, 21 de octubre de 2011

Part 2: The Kaizen Way Interview with Dr. Robert Maurer

The Kaizen Way Interview Part 1 with Dr. Robert Maurer

con el tiempo.wmv

Si puedes tener éxito y permaneces en la Humildad

Si puedes hablar a las masas y conservar tu virtud
O caminar entre reyes sin perder el contacto con la gente,
Si ni los enemigos ni tus amigos pueden dañarte,
Si todos los hombres cuentan contigo, pero ninguno de ellos demasiado;
Si puedes llenar el inexorable minuto
Con el equivalente a sesenta segundos de distancia recorrida,
Tuya es la Tierra y todo lo que hay en ella,
Y, lo que es mas, ¡serás un Hombre, hijo mío!"

Si eres Capaz de levantarte desde la Nada

Si puedes hacer un montón con todas tus ganancias
Y arriesgarlas en una jugada a los dados,
Y perderlas, y empezar otra vez desde el principio
Y no rechistar nunca acerca de tus pérdidas,
Si puedes forzar tu corazón, tu nervio y tu fuerza
Para que te sirvan aun después de que se hayan ido
Y te sostienes cuando ya no queda nada en ti
Excepto la Voluntad que te hace decir: "Resiste"

Si a Pesar de algunas pequeñas victorias

Si a pesar de ganar algunos juegos
Eres capaz de seguir arriesgando
Y de seguir aprendiendo.
Siempre con bríos renovados.
Y eres capaz de llenarte de energía.
Y eso firme en tu propósito.
Y lleno de entusiasmo!!!
Lograras tus Metas


Si el total de victorias conquistadas
arriesgar puedes en audaz jugada,
y aún perdiendo, sin quejas ni tristeza,
con bríos renovados reinicias tu la empresa;
y extraes energías, cansado y vacilante,
de heroica voluntad que te ordena: ¡Adelante!

Disciplina con buen humor: Pasos para fijar reglas de comportamiento

SOBREPROTECCIÓN, UNA FORMA MÁS DE MALTRATO

¿Por qué es importante poner límites?

10 reglas de oro para comunicarte con tus hijos

Para ser un Buen Educador: Escuela de Padres

Para ello ha sido imprescindible la Escuela de padres:
1.-Estar de Acuerdo
2.-Los padres Trabajando en Equipo
3.-Poner Limites
4.-Mejorar la comunicación
5.-Educar en Libertad
6.-Educar en Responsabilidad
7.-Disfruta de lo que haces

miércoles, 19 de octubre de 2011

Chino, Alemán e Ingles!!!!!!

Descubre los idiomas con más futuro laboral
02/01/2011

El hecho de aprender más de un idioma ha pasado de ser una posibilidad a una necesidad para elevar tu ventaja competitiva frente al mercado laboral local y extranjero. ¿Cuáles son los idiomas con más futuro laboral? descúbrelos a continuación.
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Aprender más de un idioma logra romper la barrera cultural y relacional que se origina al momento de viajar o conocer gente de afuera, inclusive nos facilita el proceso no solo para trabajar en el exterior, si no para estudiar afuera o ser aptos al momento de postular a una beca. Nunca es tarde para iniciar el aprendizaje.

Alemán, chino mandarín e inglés: idiomas del futuro
¿Por qué alemán? el país miembro de la Unión europea se muestra muy fuerte económicamente, con datos positivos en cuanto a crecimiento económico para el próximo año se refiere, además de un objetivo de pleno empleo para 2015. Por tanto, cabe esperar que el alemán sea uno de los idiomas con más futuro laboral en los próximos años.
Asimismo, el gigante chino mandarín también se presenta como una inmejorable alternativa para los próximos años. Un porcentaje muy alto de las compañías españolas llevan varios años realizando su producción en China.

Además, su economía ha decidido por fin dar el salto y dirigirse decididamente a invertir más allá de sus fronteras. Por tanto, su economía continuará creciendo en los próximos años, por lo que, si deseas trabajar fuera de España, te recomendamos que comiences a plantearte estudiar esta lengua milenaria.

En cuanto al idioma inglés, éste debe formar parte de tu día a día profesional fuera del país ya que es la base de comunicación para las transacciones comerciales entre compañías en todo el mundo. Independientemente del crecimiento económico de los países anglosajones, el inglés seguirá siendo uno de los idiomas con más futuro laboral.

sábado, 15 de octubre de 2011

"El fervor igualitario, enemigo de la excelencia y el mérito, nos ha instalado en la medianía"

"El fervor igualitario, enemigo de la excelencia y el mérito, nos ha instalado en la medianía"
"El fervor igualitario, enemigo de la excelencia y el mérito, nos ha instalado en la medianía"

jueves, 13 de octubre de 2011

miércoles, 12 de octubre de 2011

El primer paso al aprendizaje

Es siempre reconocer tus carencias con serenidad!!!!

jueves, 6 de octubre de 2011

García Aguado:Rehabilitador

A los padres se les va de las Manos
Un periodista le animó a escribir un libro contando su experiencia. Y después llegó la posibilidad de hacer Hermano mayor y El campamento. García Aguado ya trabajaba en un centro terapéutico. "Ayudaba a un segmento, que era el de las adicciones, y quería abrir ese espectro".

Los chavales que ayuda en su programa son historias reales. No hay guión. "Miedo físico no he sentido, pero sí que se nos podía ir de las manos. Trabajamos con mucha tensión. Yo sé como empiezo una acción, pero la reacción del chaval en ocasiones es sorprendente y hay que estar siempre muy rápido para ver como podemos atajar ese brote de violencia, esa emoción desbordada o esa huida". Este campeón del waterpolo cursa el programa de certificación en Coaching Ejecutivo de la Escuela Europea de Coaching y ha montado un centro psicopedagógico para ayudar a adolescentes con trastornos.

"Son chavales que durante toda su vida han seguido estrategias para salirse con la suya y siguen haciéndolo incluso de mayores porque les funciona. Lo malo es que los padres se han rendido". Lo adolescentes protagonistas del programa que hoy arranca han traslado esto a la calle. "La adolescencia ya no es de los 12 a los 16 años. Ahora llega ¿hasta los 38? Eso afecta a la maduración de las personas. Hay padres que han sido demasiado permisivos y han hecho de sus hijos unos discapacitados para vivir en sociedad porque no saben superar frustraciones ni enfrentarse a retos y adversidades. Todo lo solucionan con violencia".

Mejora La comunicación

EL IDIOMA DE LOS NIÑOS





Os invito a la lectura de un artículo publicado en la página web de una colega Psicoterapeuta Gestalt, formada en el Instituto Francés de Terapia Gestalt, como quién os escribe.

En él nos acerca a una postura desde nuestro yo infantil hacia nuestro hijos-niños. "Desde su altura", tanto físicamente, como desde esas emociones no controladas que emergen en el JUEGO o en momentos espontáneos de expresión no controlada de sus emociones infantiles.

Nos habla de potenciar una comunicación en la que propiciemos momentos en los que viamos la complicidad con el otro (nuestro hijo) y a través de los que podemos olvidarnos por un momento de esa actitud "de estar en guardia" que nos lleva a una "postura de adultos" ( "yo sé más que tú y no puedes enseñarme nada", "yo sé lo que necesitas y es bueno para ti en todo momento", "yo sé qué te pasa y porqué actúas como lo haces" ) ... Actitudes que podemos mostrar sin realmente habernos tomado el tiempo de escuchar previamente al niño, desde una escucha activa, como la autora dice, con todos nuestros sentidos.






Es importante actuar teniendo en cuenta no "sólo lo aparentemente evidente" sino las emociones no tan visibles, ni expresadas por el niño, cuando no se siente aceptado sino juzgado, no tenida en cuenta su vivencia (o la importancia que tiene para él cómo vive lo que le pasa) o no comprendido.

El juego sincero con él/ella, y una comunicación entregada (teniendo en cuenta sus demandas de atención, sus expresiones no controladas de emoción, su necesidad de movimiento, de juego compartido con él ,.., en definitiva, sus necesidades propias de su momento evolutivo), con nuestro hijo favorece en nosotros, adultos, una actitud relajada, expresiva, de acogimiento, el deseo de compartir y disfrutar juntos en este momento (aquí y ahora), de escucha y de olvido "del adulto" (con sus mecanismos defensivos), un surgir de nuestro niño interior con ganas de jugar, sentir, abrirse y expresarse, que comunica y facilita estas mismas actitudes en nuestro hijo.
La actitud anterior abre la puerta a una forma de comunicación empática con él (ponernos en el lugar del niño, pero desde nuestro niño interior, no desde el adulto), para así poder acercarnos a sus emociones y realmente al comprenderle, nuestra forma de "intervención" con él cambia (pues nuestra comprensión de él y nuestra postura ha evolucionado al tener en cuenta su desarrollo y necesidades afectivas propias de su desarrollo evolutivo), cambiando así y mejorando nuestra relación paterno-filial.

Cuando nos permitimos no tener que respondernos enseguida ¿y ahora qué hago?, ¿cómo actúo? en la búsqueda de una solución educativa, sino darnos el tiempo de conocer qué sucede realmente y en lo profundo qué hay detrás de una actitud de nuestro hijo/a que pongamos por caso "nos desagrade o disguste", nuestro hijo siente y recibe este acompañamiento, acogimiento y apoyo que como padres le damos. Estamos ayudándole a madurar, crecer y a que pueda hacer cosas buenas para él sin necesidad de una rebelión desde el cabreo (ya que se siente realmente tenido en cuenta como persona) y la rabia.

Es un tema apasionante el observar y trabajar en hacer de estos momentos de placer, de escucha activa con todos lo sentidos, un momento esperado del día en la relación padre/madre-hijo/a y se convierte en una base de una familia y la satisfacción que crea a nivel familiar los cambios que favorece.


Os dejo con el artículo mencionado, en el que resalto (mediante el color, el subrayado y la negrita) algunos aspectos que me parecen significativos.


"La comunicación es una de las claves en la mejora de las relaciones padre-hijo."

Sabemos que muchas veces en las cosas más sencillas es donde vamos a encontrar el bienestar y la felicidad. Otras tantas dejamos que el día a día nos lleve a una espiral de estrés e incomunicación de la cual somos víctimas y ejecutores al mismo tiempo. Es tan sencillo como parar un momento para pensar en ello y tomar las riendas de nuestra propia vida.

Con los niños nos sucede a cada instante. Ellos nos intentan muchas veces recordar cual es el sentido de la vida, con sus ganas constantes de juego, con sus reclamos de afecto y atención, con sus desinhibiciones emocionales… Tienen tanto que aprender como que aportar(nos). No hay un modo mejor de relacionarse con un niño que en su propio idioma, el juego, el movimiento, la expresión no controlada de la emoción… Además, este idioma no nos es desconocido, nosotros también fuimos niños y por eso, recordando como nos sentíamos de niños, nos estamos acercando a ellos, y a nosotros mismos al mismos tiempo. Nos hace bien dejar la “posición adulta” y permitirnos la espontaneidad que a lo largo de los años hemos ido negándonos.

En la búsqueda de este punto de encuentro entre madres, padres e hijos podremos realzar el contacto, refrescar al inconsciente, aunque sea durante unos instantes al día, cual es el origen de la relación, procurando hacer presente el momento. Aquí y ahora estamos juntos, aquí y ahora nos sentimos. Sin censuras, sin hacer, sólo estando y acogiendo lo que ocurre tal cual aparece, seremos capaces de entender mejor. Esperando, sin intentar resolver prematuramente. En la escucha desde cualquiera de los sentidos… Así, podemos hacer que nuestras conexiones neuronales conozcan cual es el camino que han de repetir. Expresarse y poder relajarse forman parte del aprendizaje de la relación que mantenemos. Y es tan sencillo como aceptarse a uno mismo y al niño que llevamos dentro que se comunica con nuestro hijo. Si nos sentimos comprendidos en todos los niveles, podemos bajar la guardia, relajarnos y disfrutar. Antes no."


Cristina De la Cuadra Aracil

miércoles, 5 de octubre de 2011

Sí a la Cultura del Esfuerzo: Finlandia

El éxito finlandés: eficacia y cultura del deber
Por Mónica Mullor

La escuela finlandesa es la estrella indiscutida del firmamento educacional europeo. Con un gasto por alumno significativamente inferior al español, obtiene resultados muy superiores a los de España. Ello prueba un hecho fundamental: que las deficiencias educacionales españolas no dependen de un problema de recursos, sino del uso de los mismos. Gastamos mucho, pero lo hacemos mal, mientras que los finlandeses gastan menos pero bien.
¿Qué factores y características explican la excelencia de la escuela finlandesa y, más en concreto, su superioridad respecto de la española? Este es el tipo de cuestiones que deberían estar en el tapete, si es que realmente nos preocupase la educación española. Pero no, todo gira hoy en torno a los intereses de los profesores-funcionarios por mantener, a toda costa, inalterados sus privilegios.

Las claves del éxito de la escuela finlandesa hay que buscarlas en una serie de elementos que se combinan para dar ese resultado. El primero de ellos es la altísima calidad del personal que forma a los maestros. Los profesores de las facultades de Pedagogía son en su gran mayoría doctores. Además, los finlandeses cuentan, según el QS World University Rankings 2011, con una universidad entre las 75 mejores del mundo, mientras que... ¡España no cuenta con ninguna entre las 150 mejores!

El segundo elemento explicativo del éxito finlandés es el alto nivel de excelencia de sus profesores en general, lo que tiene su origen no solo en la exigente formación que reciben, sino en el proceso de selección de los aspirantes a la propia carrera de profesor. Solo uno de cada diez solicitantes logra acceder a ella, es decir, solo los estudiantes mejor dotados y motivados logran convertirse en profesores.

De ello se deduce el tercer elemento de éxito: la profesión de maestro otorga un alto estatus en Finlandia, y para nadie es fácil impugnar la autoridad de los profesores. Esto tiene efectos decisivos respecto del ejercicio mismo de la labor docente, pero es que además explica el cuarto hecho distintivo del éxito finlandés: los políticos se cuidan de meterse en el campo educacional y convertirlo en arena de sus disputas, antojos y proyectos ideológicos. Nada parecido a la Logse se ha visto en Finlandia, sino todo lo contrario. Existe un sólido acuerdo para dejar a los maestros que hagan lo suyo y no alterar la estabilidad de la escuela. De hecho, la escuela finlandesa debe de ser una de las que menos reformas ha padecido en las últimas décadas.

De aquí se deriva el quinto elemento explicativo del éxito finlandés: la gran autonomía de los centros educativos y de los maestros a la hora de articular su labor. Los maestros gozan de una libertad que se han ganado sobremanera: ahí está el respeto generalizado por lo que hacen.

Esto nos lleva al sexto hecho decisivo: no se aceptan el fracaso ni la mediocridad en el ejercicio de la función docente. Esto es lógico cuando se cuenta con un cuerpo docente tan seleccionado, prestigiado y respetado, que lógicamente cuida su buen nombre como el mayor de sus capitales. Los centros saben lo que pueden exigir de un profesor, y si este no gestiona su trabajo de forma satisfactoria, lo cambian por otro. Se trata de premiar la excelencia y la eficacia, para lo cual, evidentemente, todos han de competir con todos en igualdad de condiciones. Este sistema implica que los profesores no tienen el privilegio de poseer contratos vitalicios, es decir, no son funcionarios de carrera, como sí son los españoles.

En séptimo lugar tenemos la disciplina y los controles de calidad. Se trata de un compromiso asumido por los profesionales, los padres y los educandos. No solo se controlan sistemáticamente los rendimientos, sino que los atrasos, la inasistencia y el incumplimiento en la entrega de deberes son considerados graves faltas al sentido del deber y tienen consecuencias. ¡En Finlandia no hay cabida para el "No pasa nada" español!

Finalmente, debemos hacer notar un elemento de mayor amplitud y complejidad. No cabe duda de que los resultados mediocres de los alumnos españoles en informes como los PISA hunden sus raíces en el entramado cultural que se ha desarrollado en las últimas décadas: la cultura del poco esfuerzo. En Finlandia, por el contrario, sigue rigiendo la cultura del deber.

Es este conjunto de cuestiones lo que debemos discutir, con seriedad y urgencia, ya que lo peor sería que, conscientes de nuestro talón de Aquiles, siguiésemos resignados, mientras el futuro de España está en juego.

La lista de deberes para el próximo Gobierno es, por lo explicado, larga. Una de esas tareas, quizá la más difícil, consistirá en abolir el monopolio del uso de los recursos públicos en educación y los privilegios otorgados a los profesores-funcionarios, como la inmovilidad laboral. El motivo fundamental de esta medida es la necesaria transición hacia un mercado laboral más homogéneo, donde todos compitan con todos y la excelencia se pruebe constantemente. Esta ha de ser una de las bases de un gran cambio que nos permita dar inicio a un proceso de transformación del capital humano español mediante el reconocimiento de la calidad y la eficacia educativas como parte estratégica de un nuevo modelo productivo, que España tanto necesita.

Las crisis pueden ser también momentos propicios para emprender grandes reformas. El reloj juega en contra de España. Aquello que durante mucho tiempo no hemos sido capaces de pensar, decir o afrontar se ha transformado en algo urgente, ante el evidente fracaso de nuestros educandos. Todo ello requerirá de mucha valentía, para llamar a las cosas por su nombre y sobrellevar los riesgos políticos de decir lo que se debe y no solo lo que se puede

La depresión en los Jovenes: Un problema oculto

Depresión: un problema oculto en los jóvenes
Patricia Matey | Madrid
Actualizado miércoles 05/10/2011 08:14 horas
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Acuden a su médico aquejados de dolores musculares, cansancio o malestar general, aunque la auténtica realidad pasa desapercibida. Porque muchos de los adolescentes que recurren a los centros de salud por sus síntomas físicos en verdad necesitan ayuda para su mente. Sufren depresión, pero salen por la puerta de la consulta sin diagnóstico.

Esta enfermedad mental, que es y será uno de los problemas de salud de mayor impacto en los países desarrollados, es bastante común entre los chicos y chicas de 14 a 19 años. Se estima que cada año entre el 1% y el 6% de los adolescentes del mundo la padecen, pero la mayoría de ellos no tiene un diagnóstico y, consecuentemente, no recibe tratamiento.

Tal y como ha puesto de manifiesto Elena Garralda Hualde, jefa de la Unidad Académica de Psiquiatría Infanto-Juvenil del Imperial Colege, St. Mary´s Hospital de Londres, durante la VI Jornada Científica de la Fundación Alicia Koplowitz que se ha celebrado en La Fundación Jiménez Díaz de Madrid, "pese a que es una patología frecuente, sólo uno de cada 10 adolescentes con depresión que acude a Atención Primaria obtiene un diagnóstico".

La necesidad de que los médicos de cabecera y los pediatras se involucren en la detección de esta enfermedad es algo por lo que trabaja esta especialista y defienden todos los expertos. Fundamentalmente, porque además de provocar un gran sufrimiento, tiene graves implicaciones adversas, como el impacto en el funcionamiento diario, las altas tasas de recurrencia y el aumento del riesgo de suicidio.

Herramientas útiles

Por todo ello, la Guía de la Práctica Clínica de la Depresión en la infancia y en la Adolescencia del Ministerio de Sanidad establece: "los médicos de familia y pediatras de Atención Primaria deberían tener una adecuada formación que les permitiese evaluar aquellos niños y adolescentes con riesgo de depresión y registrar el perfil de riesgo en su historia clínica".

Varios son los motivos que dificultan al médico de cabera la identificación de la depresión en el adolescente. Uno de ellos es que los síntomas se camuflan entre los muchos aspectos que se combinan en los cambios propios de esta edad. "En el adolescente deprimido se debe buscar la agitación o la inquietud, la pérdida de interés por las actividades diarias, el cansancio continuo, el insomnio, los cambios en la ingesta y la tristeza continuada. Otros síntomas complementarios son: el fracaso escolar, la pérdida de concentración, las ideas suicidas y la pérdida de autoestima", destaca la doctora Garralda.

También es una barrera el hecho de que "los menores consulten con el médico por motivos físicos y no por su problema emocional. El médico se queja de que tiene poco tiempo (10 minutos) por consulta y en ese corto espacio es complicado abordar aspectos emocionales. Sin embargo, los esfuerzos para aumentar la confianza de los profesionales a la hora de hablar con los jóvenes acerca de cómo se sienten, el refuerzo de las habilidades en la identificación de un trastorno depresivo y el conocimiento de las técnicas terapéuticas para el manejo de la patología ayudarían claramente al médico de Atención Primaria", argumenta.

Elena Garralda defiende como una de las opciones para involucrar a Atención Primaria en la identificación de la depresión y su tratamiento, la que ella y su equipo han llevado a cabo en varios centros de salud de Reino Unido. "Se trata del programa Identificación Terapéutica de la Depresión en los Jóvenes (TIDY, sus siglas en inglés). Consiste en un paquete de herramientas desarrolladas para apoyar a los profesionales de Atención Primaria para que se involucren en las conversaciones con los jóvenes (que casi exclusivamente se presentan con molestias físicas) sobre su bienestar emocional. Se dan las pautas para facilitar la identificación de la depresión y un repertorio de estrategias de intervención para los casos más leves que se puedan realizar en consulta. Estas medidas permiten al médico de cabecera diferenciar qué adolescentes deprimidos requieren de la derivación a los especialistas".

Así, por ejemplo, es importante que charlen con sus pacientes "y les inviten a que hablen con alguien de confianza, que les motiven para que hagan cosas y retomen sus actividades diarias, que les feliciten confiar en su médico porque a partir de ese momento le pueden ayudar. Eso va suponer su mejoría: que les digan que tienen depresión, lo que es y que es un problema común y, por supuesto, que tiene solución", determina la doctora Garralda.

sábado, 1 de octubre de 2011

La capacidad Intelectual de los Hijos es Muy Alta: Fernando Alberca

Fernando Alberca: ‘La capacidad intelectual de los niños es prácticamente infinita’Entrevistamos al autor de ‘Todos los niños pueden ser Einstein’
¿Pueden los padres interferir en la inteligencia de los hijos? ¿Nacen los ‘peques’ con unas capacidades determinadas, o es posible convertirles en pequeños genios desde casa? El profesor Fernando Alberca, autor de ‘Todos los niños pueden ser Einstein’, lo tiene claro: a los niños no sólo hay que enseñarles ‘mates’ y lengua, también hay que enseñarles a pensar. Así lo plasma en su nuevo y original ensayo, en el que demuestra, a través de consejos, trucos y ejercicios sencillos, que todos los padres pueden ayudar a incrementar los coeficientes de sus hijos desde la infancia. ¿Quieres saber más?



Fernando Alberca, autor de ‘Todos los niños pueden ser Einstein’. (PULSA SOBRE LA IMAGEN PARA AMPLIARLA)

¿Hasta qué nivel puede desarrollar un niño su capacidad intelectual?
Hasta cotas que no podríamos siquiera sospechar. Por eso podemos decir de una manera inexacta pero práctica, que la capacidad del ser humano, también del niño, es prácticamente infinita.

¿Hay ejercicios que sirvan también para los padres y las personas adultas, o es el cerebro de los niños más ‘flexible’?
La mayor capacidad de los niños para aprender es un tópico erróneo. El cerebro se va haciendo más capaz conforme la experiencia es mayor y se ejercita más la inteligencia. Por eso los adultos son en realidad mucho más capaces que los niños. Lo que sí se da en los niños es una mayor atención e interés en aprender o experimentar.

Si la genética no determina la inteligencia de los hijos, ¿son los niños superdotados una excepción?
En efecto, lo son, y además son pocos en realidad. Genéticamente hay muchas alteraciones que dan como consecuencia brillantes habilidades, pero los genios que hacen progresar a la humanidad y reconocemos como grandes sabios, fueron en su mayoría personas de inteligencia normal, aunque muy bien aprovechada.

Qué es más importante en el proceso de educación de los ‘peques’: el profesor, los padres o el niño.
Los padres de forma clara. Después los profesores –especialmente para su autoestima-, y el resto de familiares adultos a los que el niño aprecia. Y, por último, el niño.



¿Cuál es el secreto para ser buenos padres y buenos educadores?
Querer. Querer a los hijos y a los alumnos. Educa mejor quien más quiere de verdad, buscando el bien real, y eso el niño lo nota.

¿Es posible incrementar el coeficiente intelectual, o sólo las capacidades de aprendizaje?
El coeficiente intelectual apenas varía a lo largo de la vida. Pero la inteligencia sí. La capacidad que nuestro cerebro tiene para resolver los problemas que se nos planteen, esa sí puede ir creciendo a lo largo de nuestra vida.

¿Qué edad es la más adecuada para comenzar a ejercitar el intelecto de los niños?
En orden de importancia: de 0 a 3 años en primer lugar. Después de 4 a 6. De 7 y 12 en tercer lugar. Y a partir de ahí, siempre.

¿Cómo hay que reaccionar cuando estamos ante un mal estudiante?
Dándose cuenta de que las malas calificaciones o el poco rendimiento son una consecuencia en vez de una causa, y que generalmente están relacionadas con la baja autoestima o el deseo de llamar la atención por un problema emocional. Y en ambos casos comenzar por la motivación –de la que hablo de forma principal en el libro-, y por practicar algunas técnicas de estudio: lectura, subrayado, resumen, esquemas, presentación, una memoria más eficaz, concentración y relajación.

Un truco o ejercicio sencillo para hacer en casa, y que anime a los padres a comprar el libro.
Como el libro propone dos grandes líneas, la motivación y un método eficaz, sugiero por un lado alabar a nuestro hijo cinco veces por cada reproche que le hagamos, y por otro, rellenar un tarro transparente de sal y otro de azúcar, y que nuestro hijo intente acertar cuál es cuál a simple vista en el menor tiempo posible.